jeudi 17 septembre 2009

Pourquoi ne pas dénoncer deux problèmes en même temps.

Je sais que j'avais promis que j'allais chialer sur le bar les foufounes électrique. Honnêtement, il y a rien d'actuelle à dire sur ce bar la. L'alcool est pas chère et sa incite beaucoup de jeunes à aller boire leur dernier trente sous question d'être hungover ben comme faut avant d'aller à leur cours le lendemain. Il y a aussi un abus de jeunes filles qui tripe un peu trop sur les gars qui ont des tattoos. Il y a un abus de musique qu'on fini par ne pas écouter et un abus de morons qui tripe trop sur mes oreilles. J'ai fini ma soirée soul as fuck et je ne me sentais même plus coupable de boire de la smirnoff parce que j'étais sans aucun doute le gars le plus beurré et riche de la place. Ben oui, j'ai sortie avec un budget de 60$ dans les poches et j'ai impressionné la galerie en payant une tournée de shooter aux personnes qui était à ma table. Bref, les fouf je déteste et je vais pas recommencer à aimer ca de si tôt. Je travaille avec des gens qui ont en moyenne 16 à 20 ans et j'aime pas aller dans les bars qui me donne l'impression de ne pas avoir fini de travailler.

Pour ce qui est de chialer sur les foufs, c'est faites. Passons maintenant au chialage intelligent.

Depuis quelque temps, on parle du problème de décrochage scolaire au Québec. On parle même d'adopter les politiques scolaire de l'Allemagne. Pour les amateurs de sortie au foufs, qui ne peuvent se permettre de lire le journal de Montréal le matin, cette politique oblige les jeunes à rester à l'école jusqu'à 18ans. Sous peine d'amende. Cette politique ferait que 97% des élèves restes à l'école.

Étant moi même un décrocheur, cette situation m'interpelle au plus haut point.

Pourquoi interdire aux élèves de décrocher. Pourquoi ne pas trouver des solutions pour les intéresser à l'école.

Premièrement, moi quand j'ai décroché de l'école, c'étais parce que je m'ennuyais et parce que je pensais que travailler au salaire minimum m'apporterais plus de liberté que d'être confiné entre 4 murs à écouter des profs sous payer qui se calissait bien de moi. Ça c'étais le meilleur des cas. Parce que quand les profs se calissait pas de moi, c'étais parce qu'il m'aimait pas. Il y à eu deux exceptions à la règle. En secondaire 4 il y a eu Michèle Renaud. Prof d'histoire qui savait captiver la classe et donner des exemples à fin d'accrocher chaque élève à ses propos. Elle aimait sa job et elle aimait sa matière. Sa paraissait beaucoup et se présenter en cours avec elle était un foutu plaisir. Si on m'offrait d'aller dans ses cours juste pour le fun, je le ferais. Ensuite il y a eu Michèl Michaud (décidément les Michèl(le) on la cote comme prof)prof de français de secondaire 5. Enfin un prof qui nous traitait comme des adultes.

Je pose donc cette question aux gouvernements. Pourquoi ne pas offrir de formation complémentaire aux professeur pour les rendent plus intéressant? Pourquoi dans la classe d'histoire de Michèle Renaud il y avait un pourcentage d'échec réellement bas. Surtout que cette matière est souvent une des matières les plus coulés. Pourquoi est-ce qu'on ne mandaterait pas des inspecteurs qui irait suivre des cours dans des classes au hasard pour juger de la pertinence du professeur. Les professeur devrait eux aussi avoir des bulletins à chaque année. Pourquoi quand dans une classe il y a beaucoup d'échec on ne s'interroge pas sur les professeur?

Et leur salaire. Faut dire que pour enseigner, il faut aimer ça en tabarouette. Surtout au secondaire. Endurer des jeunes qui croit que le monde leur appartiennent. Enseigner à des jeunes qui croient tout savoir. Enseigner à des jeunes qui se foutent pertinemment de chaque matière. Si on débloquait plus de budget pour mieux payer les prof. On leur donne un tier de fois plus leur salaire. Est-ce qu'il serait plus motivé. De ce coup on règlerait un autre problème. Il en manquerait pas de prof. Parce que ce serait payant.

Alors récapitulons. On augmente le salaire des profs et on leur donne une formation complémentaire pour leur apprendre à être intéressant. Les profs sont motivé, motivations qui sera passer aux jeunes. Les jeunes sont motivé et aiment aller à l'école. On touche des records de pourcentages sur le nombre de jeunes qui touches au moins un diplôme de secondaire.

Il y a aussi un autre problème dans le décrochage. C'est qu'on cache la réalité cégepienne et universitaire aux jeunes du secondaires. On leur fait croire qu'on va les traiter en adultes et que les charges de travaille seront considérable. Voir énorme comparativement à ce qu'on fait au secondaire.

Moi, quand j'ai lâché l'école, je considérait qu'en allant travailler je pourrais faire le party et m'amuser à temps plein. Mais j'avais pas connue le cégep ou l'université.

Maintenant que je vois mes amis qui étudient encore, je comprend c'est quoi le sens du party.

Prenez les décrocheurs, ou ceux susceptible de l'être et faites leur vivre une semaine de vie universitaire. Party à tout les soirs, sortie dans les bars, party étudiant horaire de cours assez léger qui permettent de travailler et de sortir régulièrement. Les jeunes universitaire sont généralement des alcooliques. Combien de ses jeunes s'alimentent mal pour pouvoir sortir un soir de plus? Combien vont reprendre plusieurs cours parce qu'il les ont coulés fautes de temps accordé à l'étude? Combien sont l'université juste pour les plaisir de la vie étudiante?

Ce que je dénonce aujourd'hui, c'est toute cette polémique sur le décrochage et la notion de party qui est rattacher à la culture universitaire. Est-ce que nos professionnelle de demain seront des professionnelle de la procrastination et de la beuverie? Moi, je dit que oui

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